Depuis janvier 2022, la FNEK ne cesse d’être pro-active afin de proposer des solutions viables pour lutter contre les disparités d’accès aux soins. 

L’inflation impacte profondément les kinésithérapeutes et l’ensemble des étudiants et étudiantes déjà touché·e·s par la précarité. Une revalorisation des actes est nécessaire pour permettre l’amélioration de la condition de vie et de travail des soignant·e·s, impactant indéniablement la qualité des soins prodigués.

Les étudiants et étudiantes en kinésithérapie sont en faveur d’une demande de réouverture des négociations conventionnelles, soucieux et soucieuses de leur avenir professionnel. 

La FNEK, seule instance représentative des étudiantes et étudiants en kinésithérapie, affirme son droit légitime de siéger à la table des négociations afin d’obtenir un avenant respectueux de l’ensemble de la profession d’aujourd’hui et de demain. Elle sera vigilante à ce que l’avenant n’inclut d’aucune manière des mesures impactant la qualité de vie des étudiant·e·s et leur formation. 

La Kinésithérapie doit être une profession unie, avec des instances qui répondent aux attentes des professionnel·le·s et des patient·e·s sur les territoires. 

Nous appelons les syndicats à trouver conjointement des solutions concrètes sans mettre davantage en péril  les conditions d’exercice de leurs futur·e·s collègues.